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FALSTAFF

16 MAI

Opéra

FALSTAFF

Opéra Live : retransmission en direct et sur grand écran à l’Auditorium Jean-Claude Casadesus.

Mardi 16 mai— 20h

Lille, Nouveau Siècle

[ Gratuit sur réservation en ligne ]

± 2h40 avec entracte

La retransmission live de Falstaff (le 16 mai 2023) reçoit le soutien de la Fondation Crédit Mutuel Nord Europe.

Falstaff
Comédie lyrique en trois actes de Giuseppe Verdi (1813-1901)
Livret d’Arrigo Boito
Créé en 1893

Antonello Allemandi direction musicale
Denis Podalydès mise en scène
Laurent Delvert collaborateur à la mise en scène

Éric Ruf décors
Christian Lacroix costumes
Bertrand Couderc lumières
Cécile Bon collaboration aux mouvement
Nicolas Chesneau chef de chant
Mathieu Romano chef de chœur

Avec
Tassis Christoyannis Falstaff
Gabrielle Philiponet Alice Ford
Julie Robard-Gendre Meg Page
Silvia Beltrami Mrs Quickly
Clara Guillon Nannetta
Gezim Myshketa Ford
Kevin Amiel Fenton
Luca Lombardo Dr Caius
Loïc Félix Bardolfo
Damien Pass Pistola
Laurent PodalydèsLéo Reynaud comédiens

Chœur de l’Opéra de Lille
Orchestre National de Lille

Nouvelle production de l’Opéra de Lille
Coproduction les Théâtres de la Ville de Luxembourg, théâtre de Caen

Avec le soutien du Crédit Agricole Nord de France, mécène principal de l’Opéra de Lille.

Voilà ce qui s’appelle finir en beauté…

En 1893, Verdi a 80 ans, il a écrit 27 opéras – avec un certain succès – et quitte à en composer un dernier, il voudrait que ce soit une comédie. Continuant, après Othello et Macbeth, son compagnonnage avec Shakespeare, il s’attache à la figure grotesque de Falstaff.

Ivrogne et malfrat, coureur de jupons et fauteur de troubles, gros, goinfre, mais capable des affections les plus franches et des chagrins les plus amers… Une figure éminemment bouffe, d’une popularité sans démenti, que Shakespeare convoqua dans plusieurs de ses pièces, jusqu’à lui donner la vedette dans Les Joyeuses Commères de Windsor

« Falstaff est un glorieux jouisseur et, à la fois, il est d’une bonté constante. Dans l’horizon de la fiction, peu de géants sont des hommes de bien », expliquait l’acteur et réalisateur Orson Welles. C’est cette silhouette attachante, mélancolique autant que bouffonne, que, comme Welles avant lui, Denis Podalydès veut faire apparaître.

Un double crépuscule : celui du truculent chevalier et celui du compositeur, qui se joue de l’âge et de la maladie pour connaître un dernier triomphe.

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