Concert symphonique
BEETHOVEN & SIBELIUS #2
Alexandre Bloch conclut le cycle Sibelius
avec éclat !
Mercredi 17 avril — 20h
Jeudi 18 avril — 20h
Lille, Nouveau Siècle
[ Tarif 1 ]
—
± 1h30 avec entracte
En région
Pas de billetterie O.N.L / billetterie extérieure
—
Vendredi 19 avril – 20h
Valenciennes, le phénix
SIBELIUS
Symphonie n°7
BEETHOVEN
Concerto pour piano n°5, « l’Empereur »
Alexandre Bloch Direction
Francesco Piemontesi Piano
Orchestre National de Lille
Concert diffusé cet automne sur
Créée en 1925, la Symphonie n°7 est l’une des dernières œuvres de Sibelius.
Le compositeur finlandais parvient à l’aboutissement de toute une vie de créateur avec cette partition en un seul mouvement, qui déclenche des forces extraordinaires. Une clôture de cycle menée avec brio par Alexandre Bloch ! Dédié à l’Archiduc Rodolphe d’Autriche, le Concerto pour piano n°5 gagnera ultérieurement son sous-titre « Empereur » en raison de son caractère noble et solennel.
Beethoven regarde vers l’avenir avec une musique qui préfigure le romantisme. Le grand pianiste suisse Francesco Piemontesi sera l’interprète de cette page majestueuse.
QUELQUES MOTS SUR LE PROGRAMME
- Ce concert marque l’aboutissement du focus Sibelius mené cette saison
par Alexandre Bloch ! - La Symphonie n°7 termine en apothéose l’œuvre symphonique de Sibelius.
Le compositeur y pousse son langage jusqu’à ses plus extrêmes limites.
Est-ce en raison de cela qu’il a jeté au feu sa Symphonie n°8 au début des
années 1940 ? - La Symphonie n°7 déploie des forces extraordinaires. Sibelius nous invite à
entendre les instruments comme des phénomènes naturels : lave des cordes,
nuages des vents, tremblements de terre des cuivres et des percussions.
La conclusion, où l’orchestre se soulève comme une montagne, est grandiose ! - Le Concerto n°5 est le dernier et le plus célèbre des concertos pour piano
de Beethoven. Son auteur l’appelait lui-même le « Grand Concerto ».
Son surnom « Empereur » a été ajouté (sans doute après la mort de Beethoven)
en raison de son caractère noble et solennel. - D’une vingtaine de minutes, le premier mouvement dépasse en ambition tout
ce qu’on connaissait depuis Mozart. Une musique littéralement inouïe pour
l’époque. - Ancien élève d’Alfred Brendel et Murray Perahia, le pianiste Francesco
Piemontesi est l’un des grands poètes du clavier de notre époque.